Comment acheter du fromage direct producteurs ?

Dans une démarche éthique de consommation du frometon, on s’demande souvent comment faire pour concilier bons produits, achats responsables et nos vies très dynamiques. On va pas s’mentir, on a l’temps de rien mais on doit faire tout plein d’trucs.

Acheter en fromagerie

La première alternative, c’est tout simplement d’acheter ton fromage directement en fromagerie. Normalement, on traîte avec des produits de plus belle qualité et sélectionnés par des amoureux de frometon. C’est pas toujours beaucoup plus cher qu’en grande distribution mais en plus ça permet de faire vivre un commerçant de quartier. Si tu n’en as pas dans « la ville du quart d’heure », alors tcheck du coté d’Epicery si t’es éligible à la livraison par formule 1.

Tu connais le Crowdfarming ?

Grand concept à la mode ces derniers temps, il s’agit du financement participatif de cuvées pour des vins ou de fromages, d’huile d’olive ou de jus de fruits faits maison. Le concept ? Tu adoptes une vache, une chèvre ou une brebis directement auprès de l’éleveur qui, en échange, te livrera le fruit de la récolte.

Les avantages :

• Cela permet aux producteurs d’financer une partie de l’élevage et / ou la croissance de son cheptel. Plus de p’tites bêtes pour produire plus de bons produits.
• Le producteur se prémunit des invendus, puisque le cheptel adopté lui assure une livraison.
• Tu soutiens un producteur tout en graillant du produit de qualité.
• Traçabilité des produits
• Souvent, le producteur partage ses conseils de dégustation, de conservation ou l’histoire d’la fabrication de son savoir-faire

La Ruche qui dit Oui

P’t’être qu’tu connais c’truc mais la Ruche c’est une belle alternative pour commander tes produits locaux ou moins locaux mais issus directement des producteurs. Le processus n’est pas des plus rapides, mais garantie un impact des livraisons limités sur l’environnement puisqu’il s’agit de créneaux de récupération des commandes à des lieux pré-définis et limités à quelques plages horaires par semaines. C’est l’turfu qu’on s’le dise.